« La perception des droits sur les lectures en public, j’y suis opposée. » Françoise Nyssen n’a pas usé de circonlocutions pour répondre à l’interpellation des bibliothécaires au sujet du conflit qui les oppose depuis le début 2016 à la Société civile des éditeurs de langue française (SCELF).
La SCELF s’appuie sur l’article L.122-4 du Code de la propriété intellectuelle pour demander aux bibliothèques de lui verser des droits sur les lectures à voix haute qu’elles organisent.
« Principe de la gratuité»
Force est de constater que la situation devenait intenable. Opposés aux demandes de la SCELF, certains bibliothécaires menaient une opération de médiatisation à l’approche de la Nuit de la lecture. L’Association des bibliothécaires de France (ABF) avait directement interpellé Françoise Nyssen le 12 janvier.
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