Caroline de Francqueville
Une grande enquête menée par la Fédération française des usagers de la bicyclette révèle l’appétence des Français pour davantage d’infrastructures dédiées au vélo.
Ma Gazette
Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée
C’est un paradoxe bien français : au pays du prestigieux Tour de France, nous sommes moins de 2 % à grimper en selle pour aller travailler. Pourquoi un tel désamour pour le vélo au quotidien ? Une vaste enquête menée ces derniers mois par la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), dont les premiers résultats ont été publiés mardi 5 décembre, apporte de nouveaux éléments sur le ressenti des Français vis-à-vis de la pratique du vélo.
Le baromètre des villes cyclables s’appuie sur un questionnaire en ligne rempli par plus de 113 000 cyclistes et non cyclistes – 7600 à Paris, 4100 à Toulouse, 2 % des habitants de Grenoble, etc. Une participation plutôt élevée pour un sondage, qui a offert à la FUB des résultats détaillés à l’échelle de 316 communes. « Ça montre le besoin ...
Et que dire des déplacements à pied ?
Un gros travail de formation est à effectuer en direction de nos services techniques communaux qui ignorent trop souvent cette modalité pourtant essentielle (celle de nos jeunes de de nos aînés).