Après la libération sans précédent de la parole des femmes cet automne, notamment sur le harcèlement sexuel subi au travail, c’est peu dire que le discours du chef de l’État était très attendu, samedi 25 novembre, sur ces questions d’égalité entre les sexes et de lutte contre les violences faites aux femmes.
Emmanuel Macron a ainsi défini trois axes de travail majeurs :
- l’éducation et le combat culturel en faveur de l’égalité ;
- l’accompagnement des victimes ;
- le renforcement de l’arsenal répressif
D’ores et déjà, une douzaine de mesures en rapport avec ce qui sera donc la « grande cause nationale du quinquennat » a été avancée. Certaines d’entre elles avaient déjà été éventées (comme la création d’un délit d’outrage sexiste ou l’allongement de la prescription pour les crimes sexuels commis sur des mineurs) ces dernières semaines par Marlène Schiappa, la secrétaire d’État en charge de l’Égalité entre les femmes et les hommes, qui doit en effet présenté, en 2018, un projet de loi « contre les violences sexistes et sexuelles ».
Passage en revue des annonces concernant les collectivités et les territoriaux.
La formation des territoriaux et des cellules d’écoute dans les administrations
Le chef de l’État a beaucoup insisté sur la nécessité de former « les personnels sociaux et de santé, présents dans les établissements, les personnels des services périscolaires » en rapport avec les enfants et ce, de la crèche au lycée ! Formation pour les sensibiliser à la question des ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 30 jours
J’en profite