Selon le gouvernement français, « il y a environ 460 mineurs français dans le territoire revendiqué par Daech, dont la moitié a moins de cinq ans et un tiers y est né ». Si la secrétaire générale du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation, Muriel Domenach, estimait récemment dans un entretien accordé au Club Prévention Sécurité qu’il n’y avait pas de « massification des retours », une politique de gestion de ces mineurs se met en œuvre peu à peu.
Pour aider les pays européens à faire face à cette problématique, le RAN (réseau européen de sensibilisation à la radicalisation), dont fait partie le CIPDR, a publié en juillet 2017 un manuel pratique consacré aux retours des combattants terroristes et de leurs familles. Il rappelle que la plupart de ces enfants susceptibles de revenir en Europe ont reçu une formation militaire et idéologique dès l’âge de 9 ans.
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Les "enfants du djihad" : comment faire face à leur retour ?
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