Est-il encore possible de sortir par le haut du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, promu par une majorité d’élus locaux de Loire-Atlantique au nom du développement économique, mais contesté par une partie de la population au titre de la protection de l’environnement ? C’est le pari d’Emmanuel Macron, Edouard Philippe, Nicolas Hulot et Elisabeth Borne, qui ont lancé, pour cela, une mission de médiation de six mois.
Objectif : envisager « toutes les solutions allant dans le sens de l’intérêt général, dans un dialogue apaisé avec les acteurs et dans le respect de l’ordre public ». L’audition des différentes parties prenantes devra permettre « d’identifier la mesure la mieux apte à satisfaire les besoins de transport à long terme et de préservation de l’environnement, dans une vision cohérente de l’aménagement durable de la métropole nantaise », assure Matignon.
Vifs échanges entre opposants et promoteurs de NDDL
Pourtant, pour qui en doutait encore, le dossier n’a rien de simple. La tâche des trois médiateurs nommés le 1er juin par le Gouvernement s’annonce…
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