Malaise, accident de collègues au cours des missions, utilisation de son arme de service, interpellations sur la voie publique : autant d’événements, plus ou moins fréquents, qui laissent des traces sur les policiers municipaux et agents de surveillance de voie publique qui les vivent en première ligne. Comment réagir vis-à-vis de collègues confrontés à ce type d’événements qui ne sont pas nécessairement perçus comme « sortants de la normale, voire extraordinaires » alors qu’ils causent des troubles émotionnels ?
Face à ces interventions de « haute intensité », selon la terminologie qu’elle emploie, la ville de Saint-Étienne (172 000 habitants) a mis en place fin 2016, à destination de l’encadrement intermédiaire, un dispositif original de formation à ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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