« Nous saluons l’effort du gouvernement, cet hiver, et sur l’ensemble du mandat. Mais il y a toujours des personnes à la rue. Et l’effort doit avoir une répartition équitable. Paris concentre par exemple 40% de l’hébergement d’urgence en Ile-de-France. D’autres communes doivent aussi s’investir », estime Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs Solidarité.
Décalage avec le terrain
Le directeur général de la Fédération des acteurs de la solidarité (ex-FNARS), Florent Gueguen, rejoint cette position. Il souligne également l’importance de l’effort de l’Etat – deux fois plus de places pérennisées que l’hiver dernier –, mais il s’interroge sur sa répartition géographique :
Cette annonce est déconnectée de la réalité de certains territoires où le problème est plus foncier que budgétaire, comme sur ...
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