Fin 2014, Bordeaux métropole se dotait d’un modèle innovant de schéma de mutualisation « à la carte », portant sur quatorze thématiques et environ 150 fonctions potentiellement « mutualisables ». Une approche inédite en France, de par sa souplesse et ses conditions de mise en œuvre, permettant aux communes de garder la main sur les compétences concernées.
« Alain Anziani, premier vice-président chargé de la métropolisation et maire de Mérignac, souhaitait que les communes restent les interlocuteurs privilégiés des usagers, et que soit conservée la relation entre les services mutualisés d’un côté et les services et élus municipaux de l’autre », rapporte Laurent Bourgès, directeur général des services de Mérignac. La commune conserve son autorité fonctionnelle décisionnaire, la métropole en tant qu’employeur assure l’autorité hiérarchique. « Le projet et la stratégie restent du ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Cet article est en relation avec les dossiers
- Jusqu'où doit aller la mutualisation des services dans les intercos ? – Club RH à Strasbourg
- Jusqu’où doit aller la mutualisation des services dans les EPCI
- Jusqu’où doit aller la mutualisation des services dans les intercos ?
- Jusqu’où peut aller la mutualisation des services dans les intercos ? Club RH - Villers-les-Nancy
Thèmes abordés
Régions