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[Editorial] Environnement

Comme le colibri, faire sa part

Publié le 20/01/2017 • Par Romain Mazon • dans : France

dialogue environnemental
D.R.
L’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a beau estimer que «l’environnement, ça commence à bien faire», ces jours de risque de pénurie électrique pour cause de grand froid, au XXIe siècle, nous rappellent que le climat et ses dérèglements s’imposent à nous.

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L’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a beau estimer que « l’environnement, ça commence à bien faire », ces jours de risque de pénurie électrique pour cause de grand froid, au XXIe siècle, nous rappellent que le climat et ses dérèglements s’imposent à nous. Et, contrairement à ce que le modèle occidental a longtemps promu, nos sociétés ne sont pas capables d’assurer leur développement dans la durée.

Une ONG canadienne a mis au point un indicateur frappant : le « jour du dépassement », c’est-à-dire le jour de l’année à partir duquel la consommation des ressources de la planète par l’homme dépasse ses capacités de renouvellement. C’est en 1987 que l’homme a, pour la première fois, dépassé ce seuil. En 2000, le jour du dépassement s’est produit le 1er octobre ; en 2016, le 1er août…

Besoins élémentaires

Ce constat n’est pas nouveau. Mais quelles réponses apporter à des défis de portée mondiale ? Justement, en ne se laissant pas écraser par la dimension planétaire du problème répondent de plus en plus de citoyens et de représentants territoriaux. Et en tentant de reprendre la main sur la satisfaction de nos besoins élémentaires : l’alimentation et l’énergie.

Les exemples évoqués dans notre dossier prouvent deux choses. D’abord, que l’autonomie alimentaire et énergétique peut être atteinte, pour peu que l’on en ait une vision ni dogmatique, ni autarcique. Au moment où la création des métropoles fait craindre l’abandon des autres territoires, le chemin vers l’autonomie impose, au contraire, une nécessaire solidarité.

Principe à suivre

Ensuite, que cette voie vers l’autonomie contribue, peu ou prou, à la réponse au changement climatique. Ainsi, les territoires font leur le principe du colibri, popularisé par le penseur Pierre Rabhi : alors qu’un feu dévastait une forêt, dit la légende, seul le petit colibri luttait contre les flammes en apportant de l’eau dans son minuscule bec. Un tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit alors : « « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! » Et le colibri lui répondit : ‘Je le sais, mais je fais ma part.’ »

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Comme le colibri, faire sa part

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manava22

20/01/2017 07h03

bonjour,
je pense qu’il va falloir plus qu’un calibri pour lutter contre le changement climatique en cours : il faudra décarboner l’économie européenne et là il faudra plusieurs milliards d’euros ; pour commencer, il conviendrait d’isoler tous les bâtiments publics d’y installer des pompes à chaleur, du solaire thermique… notre seule chance : un plan européen doté de 1000 milliards d’euros au moins sur les trente cinq prochaines années avec un pilote qui prendrait ce risque pour investir (trente cinq ans est égal à la durée de l’accord de Paris pour limiter à deux degrés le réchauffement de la planète) ; la Suède a réalisé son indépendance énergétique ; pourquoi pas nous la France et l’Europe ? Donc, je vous invite à aller voir le site internet « jancovici.com  » ou « manicore.com » ; vous y apprendrez beaucoup de choses en ce domaine et vous tomberez de haut dans le domaine de l’énergie ; sans elle, nous ne pourrons plus nous chauffer ni nous déplacer… A très bientôt

sirius

21/01/2017 05h41

Certes le fameux colibri est sympathique ,reste que compter sur lui pour éteindre l’incendie relève de la poésie pure .
En matière de consommation d’électricité -à ne pas assimiler à la consommation totale d’énergie-le recours à l’initiative domestique ne peut infléchir la situation générale . Mais réduire les postes majeurs que sont l’industrie et l’isolation des bâtiments demande une véritable démarche politique ,que nos élus tardent à mettre en place .tant elle contrarie les pratiques enracinées.

Martien

23/01/2017 11h01

L’idée n’est pas de compter sur le colibri ou sur quelqu’un d’autre pour éteindre l’incendie mais que chacun y participe et prenne ses responsabilités.
Tout le monde est d’accord pour dire que le colibri seul ne peut y arriver.

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