Alors qu’il était peu évoqué dans son précédent rapport, le phénomène de radicalisation jihadiste occupe une place centrale dans celui de 2015 remis au cabinet du Premier ministre le 14 décembre dernier, par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes).
« Nous présentons une très grosse contribution sur ce qui est notre nouveau job : la prévention de la radicalisation. Jusqu’à présent nous avions été un peu elliptique sur ces questions, d’abord pour des raisons de sécurité et parce qu’il fallait avoir le recul nécessaire », a expliqué Serge Blisko, président de la Miviludes.
La formation au premier plan
Dès avril 2014, la Mission a été associée au plan gouvernemental « de lutte contre la radicalisation violente et les filières terroriste ...
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