«Aujourd’hui, les adolescents islandais passent davantage de temps avec leurs parents et consomment moins d’alcool et autres drogues ». Derrière ce titre d’un numéro de « Iceland Magazine » de février 2016, se cache une véritable performance de santé publique. En 1998, lorsqu’ils étaient interrogés, près de quatre ados sur dix déclaraient avoir été ivres au moins une fois au cours des trente derniers jours, 23 % affirmaient fumer chaque jour. Et 17 % avaient touché au cannabis le mois précédent…
À l’époque « quiconque marchait dans les rues de Reykjavik le vendredi ou le samedi soir avait peur ! Les adolescents déambulaient ivres, désagréables, ils hurlaient des obscénités », souligne Harvey Milkman (1), professeur de psychologie à l’université de Denver (États-Unis).
Qu’en est-il 20 ...
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