La médiation sociale suscite un fort intérêt de la part des élus. Comment expliquez-vous ce succès ?
Les maires et les bailleurs sollicitent de plus en plus les équipes de médiation sociale pour répondre à deux préoccupations majeures. Tout d’abord, la tranquillité publique. Face aux problèmes de rassemblement dans les halls d’immeuble, de troubles de voisinage, de dégradations, d’incivilités réelles ou ressenties, les médiateurs peuvent mettre en place des actions concrètes et apaiser une tension. Aujourd’hui, les trois quarts des 12 000 médiateurs sociaux interviennent dans le champ de la tranquillité.
Deuxième champ d’action : le lien social auprès des publics les plus désocialisés et défavorisés – ces « invisibles », en très grande difficultés, qui n’ont plus forcément ...
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