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[Sur l'établi législatif] Santé

L’obligation pour les médecins de s’installer dans les déserts médicaux encore rejetée

Publié le 28/11/2016 • Par Catherine Maisonneuve • dans : Actu expert santé social, France

Assemblée Nationale
mbzt_Flickr_cc
La lutte contre la désertification médicale ne passera pas par l'instauration d'un numerus clausus d'installation :  la proposition de loi du député Philippe Vigier a été rejetée par l'Assemblée nationale. Mais devant les députés, Marisol Touraine a annoncé une augmentation significative du numerus clausus à l'entrée des études.

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  • à partir de 2020, tout médecin devait, à l’issue de sa formation, et pour une durée minimum de trois ans, s’installer dans un secteur géographique souffrant d’un nombre insuffisant de médecins pour répondre aux besoins de la population en termes d’accès aux soins (article 5) ;
  • les créations, transferts ou regroupements de ...

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Commentaires

L’obligation pour les médecins de s’installer dans les déserts médicaux encore rejetée

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ssrw38

29/11/2016 08h55

« Des besoins de la population, il n’est pas question…. », » d’adjoint du médecin », « traiter la situation des médecins qui n’ont pas soutenu leur thèse dans les temps et souhaitent exercer la médecine « . Je n’aurais jamais cru être amené à lire cela. Serait ce le début de la fin de la médecine à la française ? Les finances du pays sont tellement mal que l’on brade le système de soin ? Faudra t il dans quelques années que les médecins des pays aujourd’hui en voie de développement viennent nous soigner au titre de médecin sans frontières ? C’est la France et l’Etat français qui devraient être soignés/traités et mis sous assistance respiratoire et vite avant que tous les citoyens ne s’enrhument !

JO

01/12/2016 04h55

« Faudra t il dans quelques années que les médecins des pays aujourd’hui en voie de développement viennent nous soigner au titre de médecin sans frontières ? » Cela fait quand même plus de 30 ans que les hôpitaux tournent grâce aux médecins étrangers.
Des aides à gogos, une clientèle solvable grâce à la sécurité sociale, des années d’études payées par le contribuable : que pouvons-nous faire de plus pour ces pauvres travailleurs ? Heureusement que les instituteurs ne prennent pas exemple sur eux, nous n’aurions plus d’école en milieu rural.

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