Points d’étapes sur le suivi du Plan national de rénovation urbaine (PNRU), développement de formations pour les professionnels locaux, optimisation des échanges de données sont quelques-uns des axes fonctionnels que l’Acsé et l’Anru s’engagent à mettre en œuvre», précise le texte.
Les deux agences souhaitent en outre renforcer les échanges d’informations – notamment sur les sites bénéficiant des « diagnostics en marchant » (observation des problématiques des quartiers in situ) – ainsi que leur coopération sur l’entretien des espaces verts, l’animation des quartiers et la promotion de l’accès au logement.
Dans le cadre de l’accès à l’emploi, l’accord vise à « accroître les aides mobilisées pour le programme insertion-rénovation (une centaine de chantiers sur les sites en rénovation), soutenir les projets au niveau local grâce à un renforcement de l’assistance technique, juridique et sociale, et sensibiliser les délégués territoriaux pour suivre et évaluer les projets et ses effets positifs sur les bénéficiaires ».
Coopération renforcée en matière de sécurité des commerces de proximité
L’Acsé et l’Anru renforceront enfin leur coopération en matière de sécurité des commerces de proximité : formation à la sécurité et la tranquillité, élaboration de fiches de bonnes pratiques, etc.
Etablissement public national à caractère administratif, l’Acsé a été créée en 2006 pour renforcer l’action de l’Etat en faveur des habitants des 2 213 quartiers de la politique de la ville et pour promouvoir l’égalité des chances et la diversité. Elle est dotée d’un budget de 379,9 millions d’euros.
L’Anru met en œuvre la rénovation urbaine lancée en 2003 et concernant 490 quartiers en grandes difficultés.
Thèmes abordés