Le président de France Urbaine, Jean-Luc Moudenc (LR) le clame à qui veut l’entendre. Il n’est pas un homme de parti. Le patron de la métropole de Toulouse l’a démontré à l’occasion du congrès de son association, France Urbaine, le 22 septembre 2016 à l’hôtel de ville de Paris.
Evoquant les propositions des candidats à la primaire des Républicains « qui annoncent 17 à 20 milliards de réduction de la dépense publique », il a lâché : « Une baisse supplémentaire durant la deuxième partie de la mandature (NDLR : municipale) achèverait de nous déstabiliser. » Et Jean-Luc Moudenc de prôner une « stabilité », tant dans les volumes de dotations accordés par l’Etat que dans le paysage territorial.
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