Il existe des besoins non satisfaits, ni par le public, ni par le privé. C’est le constat fait par Gaïdig Le Moing pour démarrer we moë (« rêver ensemble »), une structure qui offre des solutions inédites aux Français rendus incapables d’accéder à des emprunts bancaires en raison de risques aggravés de santé (RAS).
Car s’il existe bien un droit au compte dans les banques (renforcé par la loi du 26 juillet 2013), il n’existe pas de droit à l’assurance, notamment à l’assurance emprunteur. Les personnes qui présentent un risque médical aggravé, selon les cotations des sociétés d’assurance, peuvent donc se retrouver sans possibilité d’accéder à ce sésame.
Solutions impossibles
Il y a cinq ans, c’est cette impasse dans laquelle s’est retrouvée, à son corps défendant, en raison d’un léger AVC ...
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J’en profiteRéférences
- La loi du 26 janvier 2016 de modernisation du système de santé précise les dispositions du droit à l’oubli pour faciliter l’accès à l’emprunt des personnes ayant subi une maladie.
- La loi Hamon sur la consommation du 17 mars 2014 simplifie les conditions de changement d’assurance (mise en œuvre au 1er janvier 2018 pour l’assurance emprunteur).
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