Hugues Portelli, qui est aussi constitutionnaliste, professeur à l’université Panthéon-Assas, explique notamment que le projet de loi exigera des décrets d’application pour encadrer les interventions des forces de l’ordre. Il reconnaît également que, de l’intention initiale des parlementaires d’interdire la burqa, le texte a « glissé » vers un objectif de sécurité publique, moins risquée constitutionnellement que l’interdiction de vêtements religieux.
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