ENGEES
Mieux communiquer avec les citoyens et les élus, gérer les relations avec les prestataires extérieurs, faire mieux à moyens constants… autant d’injonctions nouvelles auxquelles doit répondre l’ingénieur territorial. La nouvelle distribution des cartes engendrée par la mutualisation des services ou plus largement par le redécoupage des régions oblige les agents à s’adapter et à repenser leur rôle. Élargir leurs compétences, penser de manière plus globale, ou coopérer davantage sont autant de nouveautés à intégrer dans le fonctionnement des services techniques des collectivités.
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L’ingénieur territorial doit répondre à de nouvelles injonctions comme mieux communiquer avec les citoyens et les élus, gérer les relations avec les prestataires extérieurs, faire mieux à moyens constants. Le redécoupage des régions, la mutualisation des services obligent les ingénieurs à à s’adapter, à élargir leurs compétences.
1. Panorama du concours d’ingénieur : d’où part-on ?
Moins d’ingénieurs admis que de postes ouverts
Le premier constat qui soit, c’est la difficulté aujourd’hui de pourvoir à l’ensemble des postes ouverts aux concours d’ingénieur territorial. En effet, le nombre de candidats admis chaque année est inférieur aux nombres de postes ouverts. Résultat, des postes restent vacants. Ces écarts s’expliquent à cause ...
La vraie question à se poser, c’est celle de l’utilité ou non de ces ingénieurs territoriaux ainsi que de leurs bureaux d’études . Pour les avoir côtoyés, j’ai pu juger de leurs réelles capacités et expériences PROFESSIONNELLES assorties d’un manque total de responsabilités au final. Je crois que l’on devrait plutôt miser sur une bonne formation des élus, technique et commerciale et se limiter à des cahiers des charges bien bordés et des contrats passés Clefs en mains avec les entreprises qui, elles, ont de l’expérience du terrain. La méthode de passation de marchés en travaux publics laisse nettement à désirer. Paul Chérel