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Finances locales

Les collectivités repensent leur politique tarifaire

Publié le 24/02/2016 • Par Gaëlle Ginibrière • dans : Actu experts finances, Bonnes pratiques finances

cantine
P. Gisselbrecht / Ville de Metz
La période se prête à repenser la tarification pour faire face aux contraintes budgétaires ou pour réformer en profondeur des grilles souvent complexes. Les communes sont particulièrement concernées par la tarification des services rendus aux familles, pour l’accueil des enfants ou la cantine scolaire. Cette réflexion n'est pas purement financière et porte aussi sur l’équité et la progressivité des tarifs.

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En septembre 2015, la révision des tarifs de restauration scolaire, des études surveillées ou d’autres accueils périscolaires n’est pas passée inaperçue. A Toulouse (458 000 hab.), les 7 000 familles les plus modestes, qui bénéficiaient jusque-là de la gratuité de la cantine scolaire, se sont vu demander 1,10 euro par repas. Compte tenu des difficultés financières de la ville, il était impossible à la nouvelle municipalité de conserver sa politique de gratuité pour les publics les plus pauvres. Dans le même temps, la hausse s’élevait à 75 % pour les plus aisés.

La baisse des dotations n’est évidemment pas étrangère à ces mesures, et les annonces se sont multipliées à la dernière rentrée scolaire, la première sur laquelle pouvaient agir les équipes municipales élues en mars 2014. Dans les Hauts-de-Seine, la ville de Clamart (52 000 hab.) a décidé de relever les tarifs par repas de 7 centimes pour les familles aux revenus les plus faibles et de 1,22 euro pour les dernières tranches de ...

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