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Finances locales

Les départements face à des choix cornéliens

Publié le 03/02/2016 • Par Emmanuel Guillemain d'Echon • dans : A la une, A la Une finances, Actu expert santé social, Actualité Club finances, France

Selon l’Assemblée des départements de France, ils seraient quarante départements à ne pouvoir payer l’intégralité de leurs dépenses sociales contraintes en 2016, au risque de voter un budget insincère. L’Essonne est allée jusqu’à déposer plainte contre X, le 25 janvier, pour « faire la lumière sur les responsabilités ».

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Les départements et l'Etat face au défi du RSA

Dans l’attente d’une réponse du gouvernement sur le financement de l’explosion des allocations individuelles de solidarité (AIS), c’est la panique à bord pour les départements, qui ont presque tous reporté le vote de leur budget au mois de mars. Une chose est sûre : hausses d’impôts et économies drastiques sont au programme pour une majorité d’entre eux.

Augmenter les impôts

« La moitié des départements devraient recourir au levier fiscal » cette année, estime Dominique Bussereau (LR), président de l’Assemblée des départements de France (ADF). Ainsi, en Ile-de-France, les quatre présidents des départements de la grande couronne prévoient des augmentations de deux à cinq points de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB), soit des hausses allant jusqu’à 66 % ! C’est le cas des Yvelines où « nous sommes obligés de recourir à l’impôt dans des proportions aberrantes », alerte Pierre Bédier, président (LR) du conseil départemental des Yvelines, dont le taux de TFPB devrait passer de ...

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Les départements face à des choix cornéliens

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François

04/02/2016 09h14

beaucoup de départements sont dans le rouge, les collectivités locales se serrent la ceinture, on démantelle le service public, et pendant ce temps là, parce que les gouvernements successifs n’ont pas su taper du pongt sur la table, certains régimes spéciaux continuent à exister sans s’aligner sur le régime général (au moins quant aux cotisations salariales) comme celle des cheminots (2,9 milliards de participation de l’Etat chaque année) et celui de la Poste (environ 1 milliard par an maintenant).
Dommage tout de même…

Henri Tanson

04/02/2016 09h24

Faillite. Récession. Et hausses d’impôts.
Recul du service public, réduction des dépenses sociales. Économies. Régression.
Tout va bien.
Et tout ira beaucoup mieux, plus tard.
C’est l’objectif de cette politique qui nous est proposée.
Parce que c’est un choix politique.
Il y a toujours un plan B, n’en déplaise à Moscovici qui le refusait aux Grecs…
Moi, je choisis le plan B.

murakami

04/02/2016 09h26

Tiens, je croyais que nos chers élus étaient de grands gestionnaires, pendant la campagne électorale : demain on rase gratis et maintenant, on s’insurge contre l’état avec la baisse des dotations en le faisant passer pour le grand méchant loup.Et encore ce n’est pas fini, il reste les emprunts toxiques avec une facture estimée à 16 milliards d’euros.La Cour des comptes n’arrête pas , à longueur de rapports, de dénoncer la gestion dispendieuse des deniers publics des collectivités, en premier lieu , l’embauche de fonctionnaires au doigt mouillé alors que 80 % des collectivités n’ont pas de GPEC.

manava

04/02/2016 07h12

bonsoir ; augmenter les impôts n’est pas la solution ; ni augmenter la CSG . voici mon plan pour un seul objectif : le plein emploi comme en Allemagne : une TVA sociale pour renchérir les produits importés comme le gazole qui pollue ; égalité stricte du prix de l’essence et du diesel ; stabilisation des impôts des bénéfices payés par les entreprises sur tout le territoire (harmonisation fiscale européenne); une relance des éco quartiers ; de grands travaux pour un logement propre, sain et durable (logements passifs RT 2012) ; arrêt progressif des subventions aux entreprises qui ne servent qu’à financer des aubaines car l’Etat baissera leurs charges ; contre le plan de formation aux 500 000 chômeurs(on ne donnera pas les moyens financiers aux régions sauf si mise en place d’un vrai service de l’emploi avec pôle emploi transféré à la Région) ; on garde le milliard pour baisser les charges des entreprises, et un revenu minimum pour tous les résidents français à hauteur de 1000 euros mensuels financé par un impôt beaucoup plus progressif qu’aujourd’hui et bien sûr, les allocations familiales, le rSa, l’ASS, sont dans ce cas supprimés ; vaste et ambitieux programme que personne n’osera mettre en oeuvre ; à demain

manava

04/02/2016 07h16

et bien sûr, l’état abandonne ses projets inutiles et coûteux style Notre Dame des Landes

Henri Tanson

06/02/2016 01h03

Un nouveau candidat à la présidentielle de 2017 : Manava !
Nous sommes sauvés.
Merci.
:)

pov citoyen

08/02/2016 08h03

Beaucoup d’institutions iraient mieux à financer les personnes dans la détresse plutôt que d’entretenir grassement le bedon de leurs pensionnaires: sénat, CESE, académies diverses, …. : revenus hors de proportion, avantages en nature démentiels, personnels payés 2 fois plus qu’ailleurs, régimes de retraite scandaleux… Facile de proposer ce qu’on est même pas capable d’appliquer dans sa propre maison.
Honte.

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