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Explosion des dépenses pour financer le RSA : les départements inégalement impactés

Publié le 26/01/2016 • Par Isabelle Raynaud • dans : A la une, Actu expert santé social, Actualité Club finances, France

evolRSA-UNE
Capture d'écran Google Maps
Le poids du RSA est de plus en plus important dans les budgets des conseils départementaux, qui sont désormais souvent obligés de réduire la voilure sur d'autres dépenses. Qui sont ceux qui ont le plus de bénéficiaires à gérer ou qui ont connu l'augmentation du nombre d'allocataires la plus forte ? Réponses en cartes.

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Les départements et l'Etat face au défi du RSA

En mars 2015, le délégué général de l’Observatoire national de l’action sociale (Odas), Jean-Louis Sanchez, se déclarait « inquiet pour l’avenir de l’action sociale des départements » qui « risquent de s’effondrer rapidement ».

Les budgets des départements sont de plus en plus contraints par la charge des allocations individuelles de solidarité, et notamment du fait de l’explosion du coût du Revenu de solidarité active (RSA). Depuis sa création en 2009, le nombre de bénéficiaires a bondi de 44%. En 2014, le coût pour les conseils généraux pour le financement du minima social s’élevait à 9,3 milliards d’euros, en augmentation de 7,6% par rapport à 2013.

Une charge inégalement répartie

La charge pour les départements devient donc de plus en plus pesante et tous ne sont pas égaux face au RSA, loin de là. Certains devant gérer un nombre bien plus important d’allocataires, comme le montrent les données de la CAF en décembre 2014.

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Explosion des dépenses pour financer le RSA : les départements inégalement impactés

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demain

27/01/2016 05h04

Le RSA permet de soutenir temporairement la mise en place du monde de demain basé sur le partage, les échanges, une certaine forme d’autosuffisance, la sobriété. La génération X et encore plus la génération Y ont besoin de cette forme de rémunération pour la mise en place d’oasis (voir définition par le mouvement Colibris). C’est la raison pour laquelle l’augmentation est forte dans les départements ruraux. Et cela ne fait que commencer. Mais c’est un mal pour un bien. Gardons espoir en notre capacité à utiliser judicieusement les outils qui sont mis à notre portée pour créer le monde de demain. Et pour financer cette crise du RSA et de l’insolvabilité des Etats, il vaudrait mieux se tourner du côté des 1% d’ultra riches de ce monde qui accaparent la création de richesse de tous les autres plutôt que de ruiner les petits épargnants dont l’épargne a, en fait, déjà disparue (assurance vie placée dans des obligations d’Etat d’un Etat surendetté, vous suivez?).

manava

27/01/2016 10h04

un revenu minimum pour tous les résidents français à hauteur de 1000 euros mensuels, ça vous dit ? Selon Baptiste Mylondo , ce serait financé par un impôt beaucoup plus progressif qu’aujourd’hui et bien sûr, les allocations familiales, le rSa, l’ASS, sont dans ce cas supprimés ; quant à moi, je n’épargne plus que sur le livret A ; pour la retraite, j’ai le PERP qui ne rapporte pratiquement rien ; (plus d’actions comme avant , je ne peux plus épargner ; à part l’épargne forcée que sont ces maudits impôts directs que vous connaissez et qui nous pourisse la vie, je dépense tout en gardant assez pour les payer et toujours plus de prélèvements depuis 2012 ; mon pouvoir d’achat est définitivement rogné ; alors, à quoi sert le travail ? signé : un fonctionnaire accablé d’impôts qui s’abstiendra d’aller voter à la »pestilentielle » comme le disait le regretté Coluche.

Axel Bergman

25/02/2016 10h37

Je me pose beaucoup de questions sur l’avenir de notre société. Entre ceux qui travaillent et qui sont pressés par les impots et ceux qui vivent des aides de l’état, qui attendent chaque mois leur pitance. Le probleme du financement du rsa ne fait que commencer puisqu’il va y avoir toujours plus de gens dans la « panade » et moins de gens en capacité de payer des taxes. Que vont faire les département , à part augmenter les taxes locales, ce qui va encore engendrer chez les petits retraités propriétaires qui n’en peuvent plus des impôts et qui ayant bossés toute leur vie se retrouvent avec un pouvoir d’achat au raz des pâquerettes ! Je me demande aujourd’hui à quoi bon travailler, sinon d’aider mes enfants à faire leurs études et leur souhaiter de trouver du travail à l’étranger ..Je travaille et je cotise en me demandant si un jour , j’aurais droit à une retraite hypothétique … Voila le destin de la majorité des français !…

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