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De plus en plus de villes françaises se convertissent doucement au développement de modes de déplacements doux, tels que la marche, ou le vélo. L’objectif : harmoniser les modes de déplacement en les intégrant dans un espace public multifonctionnel.
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Partage de la voirie : la ville roule au ralenti
Je marche, tu roules à vélo, il prend le bus, nous sommes en voiture… Les villes se transforment en permanence et ces changements impactent les modes de déplacement, que l’on qualifie de doux ou d’actifs, la terminologie évoluant au gré des impulsions programmatiques ministérielles. « Quand on arrive en ville », comment le marcheur-roller-cycliste se déplace-t-il ?
Les collectivités territoriales ont-elles la volonté de laisser de la place à tout le monde, en dehors de la voiture honnie dont il est désormais de bon ton de réduire la prépondérance ? À l’heure où les périmètres de transports urbains (PTU) s’élargissent sous l’effet de la simplification de la carte intercommunale en cours, la cohabitation des modes de déplacements reste-t-elle de nature ...