Présenté le 26 septembre, le projet de loi Lemaire sur le numérique emporte déjà une première adhésion dans son processus législatif original : il s’agit d’une version « bêta » que les internautes sont invités à commenter, voire à enrichir de propositions de modifications. Cette étape fait suite à une première phase préparatoire de concertation, orchestrée par le Conseil national du numérique (CNNum).
Si le gouvernement ne s’engage pas à prendre en compte ces remarques, ce processus participatif satisfait malgré tout.
« La démarche est en soi est intéressante, nous essayerons d’y revenir a posteriori afin que nos concitoyens comprennent mieux le processus législatif », indique Ronan Pichon, vice-président de Brest métropole en charge du numérique, de l’économie sociale et solidaire et du développement durable.
Son territoire a un historique d’approche citoyenne de l’Internet, dont le texte se veut le héraut : open data, « biens communs ...
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