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Fonction publique

Statut de la fonction publique : les maires de Villes de France refont le match

Publié le 02/10/2015 • Par Jean-Baptiste Forray • dans : Actu Emploi, France, Toute l'actu RH

Depenses_recettes_Fotolia
D.R.
Lors du congrès de Villes de France, le 2 octobre 2015, des maires ont plaidé pour un assouplissement du statut de la fonction publique. Objectif : la baisse des dépenses de personnel. Pour d’autres maires, ce but peut être atteint à cadre juridique constant.

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« La dame des 35 heures » et « l’impertinent monsieur Macron » n’étaient pas là, au grand dam du premier magistrat (UDI) d’Arras, Frédéric Leturque. Cela n’a pas empêché les maires de l’association Villes de France, réunis en congrès le 2 octobre 2015 à Bourg-en-Bresse, de relancer la controverse entre Martine Aubry et le ministre de l’Economie sur la nécessité de maintenir le statut de la fonction publique.

 

Lire aussi : Le statut « plus que nécessaire aujourd’hui », répondent les fonctionnaires à Emmanuel Macron

« Nous avons un paquebot. Il est difficile de dévier, encore plus de faire demi-tour », a glissé le premier magistrat (PS) de Cognac, Michel Gourinchas.
« La masse salariale et le statut de la fonction publique sont évidemment liés », a lâché, plus direct, Frédéric Leturque, plaidant pour que « l’on s’attaque au dur ». Sans pour autant « agiter de chiffons rouges ». « Sinon, ça va être la débandade dans la rue », a-t-il admis.

Pour Philippe Buisson, maire (PS) de Libourne, la voie, étroite, dessinée par Frédéric Leturque a tout de l’impasse. « Une cure de rigueur des agents » est, selon lui, possible sans remettre en cause le statut trentenaire de la fonction publique territoriale. Le successeur de Gilbert Mitterrand entend notamment s’attaquer à l’absentéisme en renforçant les contrôles.

« On a été très généreux dans le recrutement amical. Les collectivités ont été aussi un amortisseur social », a-t-il par ailleurs soupesé.

 

Lire aussi, sur ce sujet,  l’interview de Stéphane Pintre, président du SNDGCT

Non remplacement

Yves Nicolin, maire (LR) de Roanne, l’assure : la masse salariale de sa collectivité n’augmentera pas durant la mandature. Afin de gommer l’effet inflationniste du Glissement vieillesse technicité (GVT), l’édile compte ne remplacer aucun agent qui part à la retraite.

Le régime minceur passe aussi, là, par la réduction des ratios pour l’avancement de grade. Egalement au menu : la renégociation, à la baisse, de l’accord sur les RTT datant du début des années 2000.

Et le député Nicolin d’élargir la focale : «  Il faut absolument que la durée minimale de travail dans les collectivités, de l’ordre de 1607 heures, soit appliquée, ce qui, aujourd’hui, est loin d’être le cas partout. »

Vers un recul des effectifs ?

Pour la première fois de l’histoire de la fonction publique territoriale, l’heure semble être à la décrue des effectifs. Selon la dernière livraison du baromètre RH des collectivités locales Randstad, réalisé en partenariat avec Villes de France et La Gazette, 25 % des responsables de collectivités (Elus, DGS, DGA, DRH et secrétaires de mairies) auront baissé leur nombre d’agents à l’issue de l’année 2015, contre 10 % qui l’auront augmenté. Afin de maîtriser la masse salariale, 47 % de ces décideurs veulent mettre l’accent sur la révision du travail et la réorganisation des services.

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