Il n’y a pas d’argent à la clé, pour les collectivités, et pourtant elles n’ont pas hésité à déposer leurs candidatures au label French Tech courant 2013. Matignon versera toutefois 15 millions pour le marketing de la marque French Tech à l’international…
« Le label, c’est aujourd’hui un raccourci pour que les gens se disent : « Et bien, tiens, là il se passe des choses ! » » explique Akim Oural, conseiller délégué de la Métropole européenne de Lille, spécialisé dans le numérique.
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