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Carrière

Relancer sa carrière avec le bilan de compétences

Publié le 12/06/2015 • Par Emmanuelle Chaudieu • dans : Actu Emploi, Dossiers Emploi, France

Depuis 2007, les fonctionnaires peuvent faire appel au bilan de compétences : lassitude des missions exercées, envie de renouveau… faire le point sur ce que l’on sait faire permet de se projeter dans une nouvelle vie professionnelle.

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Comment booster sa carrière dans la fonction publique

« J’ai une vague idée de ce que je veux faire, mais surtout je sais ce que je n’ai pas ou plus envie de faire » : c’est le genre de phrase que Vincent Bogaers, directeur de SOI Conseil et formation, cabinet RH et management spécialiste de la FPT, entend souvent lors d’un premier rendez-vous dans le cadre d’une démarche de bilan de compétences.

On peut en effet avoir de bouger, d’évoluer, sans forcément savoir quelle direction prendre. Dans ce genre de situation, le bilan de compétences peut s’avérer utile pour prendre le recul nécessaire pour mieux avancer ensuite.

“Le bilan de compétences est une démarche d’interrogation de soi”, souligne Florence Hélou, conseiller mobilité au pôle emploi territorial du Centre de gestion du Finistère, l’un des rares, si ce n’est le seul, centre de gestion habilité à réaliser des bilans de compétences.

“La personne l’entreprend lorsqu’elle a le sentiment de maîtriser toutes les compétences dans son poste ou qu’elle ressent une certaine lassitude, poursuit Florence Hélou. Il peut alors être intéressant pour elle de se poser une série de questions : quelles sont mes compétences, quels sont mes intérêts, mes aspirations en terme de réalisation professionnelle…  L’idée ensuite consiste à identifier un projet réaliste, notamment par rapport aux attentes des employeurs, savoir si l’on pourra y répondre. Il faut s’interroger sur sa capacité à retourner en formation”.

Le bilan de compétences, un droit reconnu et encadré

Le bilan de compétences est un droit reconnu à tous les agents de la FPT, titulaires ou non, et ayant au moins 10 ans de “services effectifs”. Il donne droit à un congé de 24 heures fractionnables. Il faut déposer sa demande de congé auprès de sa collectivité, 60 jours avant le démarrage du bilan de compétences. Celle-ci doit en retour faire connaître sa réponse, motivée en cas de refus, dans les 30 jours.

Concrètement, le bilan de compétences se déroule en trois phases, comme l’explique Vincent Bogaers : «La première c’est celle de l’explicitation de la demande, la présentation des méthodes. Il y a ensuite la phase d’investigation, qui représente environ 80% du bilan. Il s’agit d’un travail sur les motivations, sur les compétences (celles qu’on a, celles qu’on n’a pas), le but étant d’identifier la cohérence entre les motivations, les compétences possédées et un projet professionnel réaliste. A partir de là on peut définir un plan d’actions : généralement il va s’agir d’une formation complémentaire. Enfin, la dernière phase est consacrée à la rédaction de la synthèse du bilan ».

Pour la prise en charge financière du bilan par la collectivité, une convention est signée entre celle-ci, l’agent et l’organisme prestataire, forcément extérieur à la collectivité (et habilité !).

Cependant, et étrangement, le bilan de compétences est relativement peu utilisé. Ainsi, selon les chiffres issus du rapport annuel sur la fonction publique établi par la DGAFP (2014), 3010 agents de la fonction publique hospitalière ont bénéficié du financement de leur bilan de compétences en 2012.

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LOUKASS

12/06/2015 07h55

Bonjour, qu’en est–il de la demande d’un bilan de compétences pour les enseignants?
je suis en lycée, à quel service précisément dois-je m’adresser?
J’ai déjà rencontré une responsable mobilité carrière qui m’annonçait que les congés disponibilité seraient de toute évidence refusés compte tenu de la pénurie d’endeignants et des difficultés de recrutement.
je reste optimiste cependant et je poursuis mes recherches auprès des structures culturelles ( type musées etc…).
Merci d’avance.
Bien à vous.

Leelou

24/06/2015 11h55

Ce que vous ne dites pas, c’est que la prise en charge financière du cout du bilan de compétences n’est pas une obligation pour l’employeur !! tous les agents ne peuvent pas se permettre de payer 1500 € pour cette prestation .

Cris

10/03/2016 08h30

Superbe article tres idéaliste mais dans la réalité impossible d’évoluer dans la fpt surtout si vous vous trouvez dans une petite collectivité.
Si votre employeur refuse un quelconque financement pour une formation, un bilan de compétences … C’est à vous de prendre sur vos deniers personnels et vos congés. Le cnfpt et le cdg (qui prélèvent des cotisations aux collectivités) ne financent pas non plus la formation de réorientation, le bilan de compétences et les préparations aux concours… En clair, si vous voulez évoluer, il faut se mettre en disponibilité c’est à dire ne disposer d’aucun revenu et payer son action de formation de sa poche !!! C’est une honte malheureusement c’est la réalité !
Vous commencez à un poste et vous y restez parce que vous n’avez pas le choix d’où la démotivation de la plupart des agents.

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