CCT
Les SIG sont en passe de devenir incontournables dans les services espaces verts des collectivités. Seuls ou couplés avec des bases de données, ils améliorent l’inventaire, la gestion, le management… sous réserve d’un travail collaboratif.
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Le SIG, un outil d'aide à la décision
Avec l’avènement des logiciels libres, les systèmes d’information géographique (SIG) se démocratisent. L’acquisition de données a le vent en poupe et les espaces verts y trouvent toute leur place. Le plus souvent, le service SIG fournit les couches généralistes et les services espaces verts les couches métiers, le premier encadrant la mise à disposition et la conformité au référentiel.
Inventaire : concurrence de la DAO
Certaines collectivités utilisent le SIG comme outil d’inventaire et d’observatoire. À la communauté de communes des Terres de Montaigu en Vendée qui a adopté QGIS (logiciel libre) et Aigle, « trois communes sur dix ont rentré des données espaces verts et peuvent observer les évolutions avec les mises à jour », explique Céline Renolleau, l’administratrice SIG. En effet, avec le SIG, on dispose de manière automatisée des métrés, surfaces et natures d’espaces verts.
Cet outil peut ainsi être utile pour passer des appels d’offres de travaux externalisés ou faciliter et contrôler le travail d’un maître d’œuvre. Pour de petites collectivités, il est suffisant pour donner des ordres de grandeur de métrés et surfaces, lesquels sont ...