Le maire (UMP) de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, avait prévenu : l’arrêté anti-prostitution pris à l’été 2014 pour « lutter contre les nuisances » générées par cette activité avait vocation à évoluer, et notamment à s’adapter à l’évolution géographique du phénomène. C’est désormais chose faite. Depuis mardi 10 mars, ses zones d’application ont été étendues au niveau de la barrière de Paris, au nord de la quatrième ville de France (440 000 habitants).
Après le centre-ville avec la place Roquelaine, l’avenue Collignon ainsi que les secteurs des Ponts-Jumeaux, des Minimes et des Sept-Deniers, la prostitution est désormais interdite 24h/24 à l’entrée de Toulouse. L’avenue des Etats-Unis, le boulevard Pierre et Marie Curie, l’avenue de Fronton et la route de Launaguet sont, désormais, surveillés de près par la patrouille mixte associant polices municipale et nationale.
Juguler la prostitution de voie publique
Objectif de cette extension du périmètre : continuer à perturber le marché local par ...
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