Des informations qui ne parviennent pas systématiquement aux conseils généraux, des associations rarement contrôlées, une évaluation des établissements quasi inexistante, un suivi des familles trop ponctuel, un parcours trop long et ponctué de ruptures pour l’enfant
. Telles sont, en substance, quelques-unes des principales remarques formulées par la Cour des comptes dans un rapport rendu public le 1er octobre.
« Nous ne préconisons pas pour autant une remise en cause du système mais d’abord une clarification du rôle de chacun », a précisé Philippe Seguin, premier président de la Cour des comptes.
Concernant le recueil et le traitement des informations, ce dernier estime que « le principe légal de subsidiarité bute en réalité sur l’insuffisante affirmation du rôle du ...
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