Le travail engagé, depuis 2014, par l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (Onpes), en partenariat avec différents laboratoires de recherche, explore deux axes : les publics supposés plus « invisibles » que d’autres car mal couverts par la statistique publique, notamment les travailleurs non salariés pauvres et l’entourage des enfants placés, et les facteurs médiatiques, politiques et institutionnels qui contribuent à entretenir les angles morts de la lutte contre l’exclusion.
Isolement social
Le phénomène d’invisibilité, qui ne recouvre pas forcément celui de la pauvreté, renvoie à celui du non-recours et à l’isolement social, qui fracture la ...
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