La verbalisation électronique est « un outil fabuleux » qui pourra contribuer à la réussite de la dépénalisation du stationnement. Tel est le point de vue défendu par Pascal Faton, lors d’une rencontre du Club prévention sécurité du 12 novembre dernier à Paris. Le directeur général adjoint de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), s’exprimait pour rappeler les atouts du système, qui permet de relever les infractions grâce à la technologie informatique. Il a également encouragé les collectivités qui ne se seraient pas encore lancées dans la dématérialisation des PV, à sauter le pas.
Un gain de temps et de moyens –D’abord, Pascal Faton a tenu à rappeler que, depuis leur lancement en 2009, les PV électroniques avaient « déjà été à l’origine d’une première révolution, car ils ont réduit par un facteur dix les coûts de traitement des infractions », a-t-il indiqué. Une économie obtenue, entre-autres, par le fait que ces derniers permettent de
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Décentralisation du stationnement : comment s’y préparer