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Baromètre Bien-être au travail 2014 : les collectivités ou il fait bon travailler… et les autres !

Publié le 21/10/2014 • Par Laurence Denès • dans : Dossiers Emploi

6400 agents des collectivités territoriales ont répondu à la troisième édition de notre Baromètre Bien-être au travail dans la fonction publique territoriale, exprimant un regain de satisfaction globale, vite annulé par des inquiétudes croissantes, et une perte de confiance dans l'avenir. Mais des nuances apparaissent dès lors que l’on affine le regard, par taille de collectivités territoriales ou catégorie.

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Selon que vous serez… jeune cadre intercommunal exerçant un métier des transports en milieu urbain ou cinquantenaire de catégorie C opérant dans le secteur paramédical au sein d’une grande commune, vous ne serez pas identiquement exposés au RPS ! Telles sont les conclusions tirées du Baromètre 2014 du Bien-être au travail dans la FPT et croisés à la méthode d’évaluation des facteurs de risques psychosociaux développés en appui.

Plus belle la vie en interco… urbaine –Côté enquête, les chiffres sont déjà très parlants. Les communes, et notamment les plus modestes d’entre elles, paient à l’évidence le tribut d’un manque accru de ressources – humaines et financières –, contrainte qui semble lourdement peser sur l’organisation interne des structures.
Régulièrement interrompus dans leurs taches pour plus de huit interrogés sur dix (dont la moitié d’entre eux très fréquemment !), les agents des villes de moins de 5 000 habitants sont ainsi un sur deux à déplorer un temps insuffisant pour réaliser correctement leur travail, tout en ressentant pour le même nombre une pression excessive de leur hiérarchie directe.

Rien d’étonnant donc à les retrouver aussi parmi les plus fatigués physiquement et nerveusement (respectivement pour plus de sept et huit sur dix), aux côtés de leurs collègues de communes plus dimensionnées, voire très importantes, ces derniers éprouvant en sus, et pour 44 % d’entre eux, une forte pression des bénéficiaires, sans doute plus intense, voire agressive, dans en milieu urbain.

Ajoutées à cela les craintes inhérentes liées aux réformes territoriales – et notamment à l’élaboration de nouvelles intercommunalités qui pourraient encore leur coûter quelques compétences -, les agents communaux sont in fine deux sur trois à déplorer une baisse de leur niveau de satisfaction au travail depuis un an, faisant même des fonctionnaires issus des villes de moins de 5 000 habitants les moins satisfaits de tous les agents de la FPT (avec un mécontent sur trois)… Et les moins fiers aussi, dans cette même proportion, quand la moyenne générale se situe à seulement un sur quatre.

À l’opposé, la satisfaction se lit au sein des « interco » urbaines et périurbaines – 76 % d’opinions positives, soit près de 20 points supérieurs à la moyenne des agents territoriaux – lesquelles saluent ainsi le développement de structures « dans la marche de l’histoire ».

Même constat d’ailleurs au sein des conseils régionaux dont huit agents sur dix disent aussi leur fierté à travailler dans la FPT, soit dix de plus que toutes collectivités confondues, un très beau «score » néanmoins contrebalancé par une détérioration de cette satisfaction sur les douze mois écoulés qu’ils sont deux sur trois à noter (nouvelle carte oblige !).

Les petites communes fortement exposées aux RPS – Passées au tamis de l’évaluation de la survenance des RPS, ces premières conclusions s’affirment et s’affinent.

Ainsi la détérioration du bien-être au travail se confirme-t-elle plus durement pour les agents des petites communes rurales de moins de 5 000 habitants et les personnels des intercommunalités rurales. Leur qualité de vie au travail perd huit points et leur niveau de tolérance douze points par rapport aux moyennes en vigueur dans ces deux collectivités en 2013.

Les huit facteurs du modèle sont ainsi en baisse, avec une dégradation particulièrement marquée sur le sentiment d’autonomie, la reconnaissance et la qualité relationnelle… Sans oublier la forte perte de confiance dans un avenir bousculé par les réformes avec un indice qui, sur ce point, chute de seize points pour tomber à 88. Si fierté et sens du travail demeurent très élevés dans ces structures, attention donc aux dégradations en cours et notamment à une tolérance aux pressions désormais la plus faible du paysage local.

pression-rps

Aux côtés de ces petites structures, d’autres collectivités flirtent avec le bas du classement, à cause d’une qualité de vie au travail dont les paramètres manquent au rendez-vous. Conseils généraux et communes de plus de 50 000 habitants ressentent ainsi tout particulièrement un très faible niveau de reconnaissance avec des indices inférieurs de plusieurs points à la moyenne générale, voire très inférieurs (dix points d’écart) pour les SDIS.

En revanche, et comme déjà posé par les chiffres du Baromètre national, l’air du quotidien professionnel semble plus agréable à respirer aujourd’hui en « interco », que celles-ci soient rurales, malgré une baisse par rapport à 2013, ou – plus encore – urbaines : au sein de ces derniers établissements, les agents se déclarent en effet le moins exposés aux RPS, via une qualité de vie au travail (indice à 99,3 pour une moyenne générale des collectivités à 96,9) et une tolérance aux pressions (indice à 96, 5 pour une moyenne à 92) toutes deux favorables.

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