Hénin-Beaumont, Chalon-sur-Saône, Reims, Roanne… Autant de villes où des arrêtés municipaux contre la mendicité ont été signés par leurs maires au lendemain de leur élection en mars. Et comme à l’accoutumée, ces textes ont été aussitôt contestés par des associations – avant d’être, souvent, suspendus par la justice.
« Nous demandons leur annulation car ces arrêtés ne résolvent pas le problème : ils ne font que rejeter et précariser les personnes », argue Jacques Montacié, secrétaire général de la Ligue des droits de l’homme.
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