En mai 2013, le préfet de Loire-Atlantique, le procureur de la République de Nantes et le maire de Nantes réunis en un comité de pilotage instaurent un contrat annuel territorialisé de tranquillité publique. Ce dernier diagnostique et cartographie 21 micro-quartiers (une ou quelques rues) de la ville de Nantes.
« Ici, raconte Claire, habitante d’une cité, nous souffrons des intrusions de jeunes de 15-20 ans dans le hall : alcool, drogue, dégradations de boîtes aux lettres et locaux, bruit, etc. » « Pour les habitants, il s’agit de retrouver la tranquillité, plus que de lutter contre le deal de proximité », indique Gilles Nicolas, adjoint au maire de Nantes à la tranquillité publique. L’élu entend réussir. Et pour cela, il mobilise les habitants.
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