Les recettes de fonctionnement ne progressent que de 1.13%, soit la plus modeste croissance du mandat. La fiscalité directe progresse de 2.34% par le simple jeu de la revalorisation tant réglementaire que physique des bases. Le levier fiscal n’a évidemment pas été actionné en année pré électorale.
La fiscalité indirecte a baissé de 2.40%, sous le seul effet des droits de mutation dont le recul est supérieur en France à 10%. L’apparition du FPIC se révèle source de progression en moyenne pour les communes, au détriment des EPCI. Enfin les dotations et participations de l’Etat se contractent de 1.50%.
Forte croissance des dépenses de fonctionnement – Avec un taux de 2,85 %, les dépenses de fonctionnement connaissent, elles, leur plus forte croissance du mandat. Une progression homogène puisque les dépenses de personnel affichent un taux de 2,63 %, les achats de 3,46 %, les participations de 2,53 % et les subventions de fonctionnement de 2,67 %. Les frais financiers affichent la ...
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