« Le CCAS s’est saisi de la précarité énergétique en 2011, quand les travailleurs sociaux ont constaté la multiplication des sollicitations sur le règlement des charges d’énergie », raconte Nans Mollaret, directeur général des services du CCAS de Besançon (1). La volonté politique était « d’agir localement » pour « contribuer à augmenter le reste à vivre et améliorer le confort de vie des personnes en difficulté ». Le CCAS a essayé de mieux caractériser la précarité énergétique et de « repérer les actions possibles pour débloquer des aides spécifiques. En réponse au morcellement des compétences, le CCAS s’est engagé pour apporter de la ...
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