Le rapport dénonçait, pêle-mêle, des inégalités territoriales et des services sous-dotés. Il conseillait de « rompre avec l’idéologie du maintien du lien familial à tout prix » dans l’intérêt de l’enfant.
L’ex-Défenseure des enfants, Marie Derain, s’était, elle, engagée à donner une suite « à l’automne » au rapport Grevot, rendu public en juin 2014 lors des Assises de la protection de l’enfance, qui pointait les dysfonctionnements qui, selon son auteur, ont conduit au décès de la petit Marina, affaire emblématique de maltraitance.
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