Phovoir
Construire des logements et des commerces n’est pas toujours possible ou souhaitable. Les végétaux peuvent être un bon moyen de valoriser les friches urbaines tout en préservant l’environnement, comme le montrent les exemples présentés lors des journées techniques consacrées à la reconversion des friches urbaines polluées, organisées par l’Ademe les 25 et 26 mars derniers.
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Manque de pression foncière, impossibilité de construire, volonté d’offrir un espace vert aux riverains : voici quelques-unes des raisons qui peuvent amener les collectivités à choisir l’option de la végétalisation des friches polluées. Virginie Anquetil, doctorante en aménagement de l’espace et urbanisme au CNRS, a exploré les enjeux de la mise en végétation des sites urbains à partir de trois cas précis. Il ressort de son travail que la revégétalisation est au départ un « levier par défaut » car cette orientation est imposée par des contraintes liées au site. Toute la problématique consiste alors ...