« Résultat : la Sfil, qui couvre ses dépenses grâce à une partie de la marge sur ces prêts, n’a pas atteint la rentabilité prévue. D’autant que, en valeur relative, cette marge a été inférieure d’un tiers aux conditions fixées dans le plan initial. La concurrence des banques revenues sur le marché du financement des collectivités fait craindre deux années 2014 et 2015 aussi difficiles pour la Sfil. Philippe Mills, son PDG, envisage donc une révision de son business plan initial. Il cherche de nouvelles recettes avec, il l’espère, l’autorisation de Bruxelles. Sinon, cette banque devra être recapitalisée. »
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