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Alors que le Conseil général de Loire-Atlantique termine une étude pré-opérationnelle sur l’utilisation du roseau du marais de Brière comme combustible, l’expérimentation in situ s’avère difficile et coûteuse. Aura-t-elle lieu ? Les données du problème sont nombreuses.
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Le Conseil général de Loire-Atlantique n’a pas encore décidé s’il expérimente la fauche du roseau en marais de Brière pour une valorisation énergétique. L’idée de départ parait pourtant séduisante. D’un côté, on a le marais briéron et sa roselière de 6 000 hectares, menacés d’atterrissement(1) ; de l’autre des collectivités qui, en cohérence avec les objectifs du Grenelle de l’environnement, cherchent à développer les énergies renouvelables. Faucher le roseau, c’est donc préserver le marais tout en promouvant une énergie renouvelable alternative.