Attendue pour le 1er décembre, cette phase de test grandeur nature et in situ a pris du retard en raison de deux problèmes principaux : la mise en redressement judiciaire suivie d’une liquidation du constructeur, Induct, ainsi qu’une question d’autorisation de circulation non résolue l’an passé.
Côté tracas économiques, une solution de reprise a été trouvée en janvier, la Chambre d’appel du tribunal de commerce de Versailles ayant annulé la liquidation. Il est vrai qu’Induct est couvé par l’Etat, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg s’en étant préoccupé, selon une source proche du dossier…
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