Ils étaient encore 400 à braver le froid ce samedi 18 janvier pour faire valoir leur « droit à la sécurité », devant la mairie de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Soit aussi nombreux que le 17 décembre dernier, lorsque deux cars d’habitants étaient allés porter une pétition exigeant « la sécurité pour tous » au ministère de l’Intérieur.
La colère ne redescend pas parmi la population de cette banlieue populaire de près de 50 000 habitants, aux portes de Paris. Si la délinquance quotidienne demeure faible, le taux d’homicide reste largement supérieur à la moyenne nationale.
Dans leur ligne de mire : l’efficacité, démentie selon eux, de la première zone de sécurité prioritaire (ZSP) installée en grande pompe par Manuel Valls en septembre 2012.
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