A l’origine, la démarche était plus politique que financière : « Nous voulions développer une énergie alternative. Même si nous sommes en bord de mer, nous n’avions pas la possibilité de faire de l’éolien car le vent est trop d’irrégulier et nous avons une réserve naturelle ornithologique », explique Yann Juin, maire (PRG) de la ville.
Pas possible, avec des fonds vaseux, d’envisager des éoliennes en mer, et pour la méthanisation, il n’y avait pas de sites assez importants.
Restait donc le photovoltaïque. Le bâtiment de l’école primaire et la cantine avaient un pan de toiture orienté au sud qui devait être refait.
« La conjonction des deux éléments était donc intéressante », souligne Yann Juin. La ville a donc passé un marché global, en 2010, pour la ...
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