« Le 10 juin 2010, lorsque la loi relative à la création des maisons d’assistants maternels (MAM) a été promulguée, nous pensions que la voie était libre. C’était sans compter les obstacles réglementaires derrière lesquels s’abritent élus et responsables de la protection maternelle et infantile (PMI) pour refuser les agréments », a lancé Jean Arthuis, sénateur (UDI) et président du conseil général de Mayenne, en introduction du colloque organisé le 4 novembre au Sénat à propos des perspectives de développement des MAM (1).
Même si du chemin a été parcouru depuis que les premiers regroupements d’assistantes maternelles ont été expérimentés en Mayenne en 2005, sous l’impulsion de Jean Arthuis, beaucoup de conseils généraux font encore de la résistance, malgré la loi de 2010.
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Article réservé aux abonnés Club Santé Social VOUS N'êTES PAS ABONNé ? Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 30 jours Cet article fait partie du Dossier Sommaire du dossierInflation des normes : peut-on dégonfler le mammouth ?