La reprise est toujours considérée comme fragile par les banques centrales occidentales, qui ont maintenu le statu quo à l’issue de leurs réunions de rentrée, et restent engagées à maintenir des politiques extrêmement accommodantes, maintenant un contexte de taux d’intérêt bas.
Ainsi, alors qu’elle le préparait depuis le mois de mai, la réserve fédérale américaine a décidé en septembre de renoncer à réduire son programme de rachat de titres.
Pourquoi les politiques monétaires resteront… par lagazettefr
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