Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club Éducation et vie scolaire

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club Éducation et vie scolaire

Agriculture biologique

Qualité de l’eau et restauration scolaire : les deux vecteurs de « l’ancrage territorial » de l’agriculture biologique

Publié le 31/05/2013 • Par Laurence Madoui • dans : Actu expert Education et Vie scolaire, France

D’un bout à l’autre de la chaîne, les collectivités territoriales sont partenaires de l’agriculture biologique : en favorisant son implantation sur les aires de captage d’eau potable et en faisant de la restauration scolaire un débouché massif et régulier. Deux leviers d’action mis en avant par le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, lors de la présentation, le 31 mai, des grandes lignes du plan « Ambition bio 2017 », qui sera détaillé fin juillet.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

Doubler la surface agricole utile (SAU) occupée par l’agriculture biologique (AB) d’ici 2017 : l’objectif chiffré, qui circulait depuis plusieurs semaines, a été confirmé par Stéphane Le Foll qui présentait, le 31 mai, les principales orientations du plan « Ambition bio 2017 », devant être finalisé d’ici deux mois.

Actuellement, les productions bios occupent moins de 4 % de la SAU – quand le Grenelle visait 6 % en 2012. Ce qui représente tout de même plus d’un million d’hectares (avec une prévision de croissance de 18 % en 2013) où travaillent quelque 25 000 producteurs, rappelle Etienne Gangneron, président de l’Agence Bio (1). Au premier rang européen en termes de surfaces (17,2 %), l’Autriche ne représente finalement que quelque 400 000 ha voués à l’AB, relativise-t-il. « Dans un ...

[80% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Club Éducation et vie scolaire

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 30 jours

J’en profite

Cet article est en relation avec les dossiers

2 Réagir à cet article
Prochain Webinaire

Des panneaux plus lumineux pour des routes plus sûres

de 3M FRANCE

--
jours
--
heures
--
minutes

Nos offres d'emploi

Plus de 1000 offres d'emploi !

TOUTES LES OFFRES D'EMPLOI
marche online

Aujourd'hui sur le Club Éducation et vie scolaire

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Qualité de l’eau et restauration scolaire : les deux vecteurs de « l’ancrage territorial » de l’agriculture biologique

Votre e-mail ne sera pas publié

FORST Roger

29/06/2014 07h14

POLITIQUE AGRAIRE
à laquelle les technocrates de Bruxelles ne répondent pas….

La plus grande erreur a été d’industrialiser l’agriculture. La plus grande erreur est de s’obstiner à l’industrialiser encore. La plus grande erreur est de subventionner les grands exploitants agraires.
On a supprimé la petite paysannerie, qui était la garantie de qualité de production et de l’environnement, sans chimie. On à réduit plusieurs générations d’agriculteurs à migrer dans les villes pour se recycler dans l’industrie. On retrouve une grande partie de ces générations qui sont devenus des chômeurs RMI.
L’État est obligé de verser de l’argent pour ne rien faire à plus d’un million d’hommes et de femmes issus du monde rural qui pour un grand nombre d’entre eux, sont privés aujourd’hui de leur patrimoine séculier.
Il faudrait arrêter la production industrielle agraire et redistribuer la terre à de petits exploitants. Il faudrait interdire la production à base d’engrais chimique et retourner à l’engrais naturel issu des étables. Les paysans entretenaient leur lopin de terre avec amour et précaution, par friches tournantes, polyculture, par apport de fumier, par arrachage de mauvaises herbes…
Certes, le rendement était inférieur, mais la qualité était bien supérieure à ce que nous livrent aujourd’hui les producteurs agraires à l’échelle industrielle. Et surtout ! leurs produits étaient biologiques, propre et sains.
Au temps de la petite paysannerie, on ne connaissait que très peu de cas de cancer. Il ne faut pas chercher loin aujourd’hui pour savoir d’où vient la progression de cette pathologie !!!! Elle vient de la contamination de l’environnement des grands espaces agraires, empoisonnés par la chimie, et des nappes phréatiques où cet empoisonnement migre et de l’air qui transporte ses microparticules. La défense immunitaire de l’homme est amoindrie par la contamination de ce qu’il consomme et de ce qu’il respire.
On nous parle de maladies d’abeilles qui menacent de les exterminer. Sans abeilles plus de pollinisation ! Pollinisation qui est déjà en danger par la disparition de milliers d’insectes pollinisateurs, victimes des engrais chimiques. Plus d’insectes, plus d’oiseaux régulateurs d’insectes nuisibles aux plantes. Sans polinisateurs, plus d’agriculture possible ! C’est le cercle vicieux, mortel pour l’humanité ! Les monocultures éradiquent les espaces refuges aux insectes et oiseaux. L’absence d’espaces dites sauvages, aux buissons, haies fleuries, arbustes et de méandres de cours d’eau intouchables, entraine la perte d’insectes polinisateurs et nourriciers aux oiseaux.
L’absence de polycultures entraine le déséquilibre naturel et le manque d’interaction indispensable entre les plantes. Les insectes spécifiques à certaines plantes, peuvent être des agents protecteurs pour d’autres.
L’élevage du bovin sous hangar, avec apport de foin et de mais de monoculture qui épuise les nappes phatiques…, au lieu de les faire brouter l’herbe en prairies toute l’année, est une aberration d’élevage. Leurs muscles sont sous-développés. Le lait et la viande ne contient pas de vitamines, pas de sels minéraux, pas de métaux rares.
A quand, les politiciens de tous bords, renverseront-il la vapeur ???? Ne comprennent-ils pas encore, l’urgence immédiate de retourner à une exploitation agraire qu’on dit aujourd’hui de biologique ??? D’interdire absolument toute utilisation chimique, toute intervention transgénique, tout traitement hormonal…
. La nature a nourrit l’homme pendant des siècles, et les a bien nourrit pour une grande partie de la population sans toutes ces dérives. S’il y a eu pauvreté dans le monde rural, c’était parce qu’ils de disposaient pas encore d’outils modernes pour travailler la terre, et d’aide de l’État comme cela à été le cas pour l’industrie.
Si l’argent versé sous forme de RMI, était versé à de petits agriculteurs regroupés en coopératives, on n’aurait plus besoin de verser des subventions à de grands entrepreneurs agraires. Les petits agriculteurs alimenteraient directement les distributeurs régionaux, de produits sains qui ne nécessiteraient plus des normes de Bruxelles. Du coup on aurait aussi moins de camions étrangers sur les routes transportant des produits alimentaires d’ailleurs. Les gens réapprendraient à vivre avec les saisons, et ne pas fausser leurs organismes avec des produits hors saison. La SECU en bénéficierait certainement.
Une certaine éthique commerciale, devrait opposer une barrière à la mondialisation de l’agriculture.
Les politiciens manque-t-ils tant de compréhension et de courage ???? Ou sont-ils tous des inconscients ?????????????
Et on nous demande de voter pour eux !!!!!!!
Roger FORST

stephane

22/11/2016 03h49

Entièrement d’accord sur toute la ligne avec ce que dit Roger, et je ne vois pas grand chose à ajouter si ce n’est qu’il est grand temps que les choses changent en favorisant par exemple les circuits courts pour s’alimenter car oui le consommateur peut influer de par ses choix sur la politique environnementale et agricole détenue aujourd’hui par une poignée de technocrates. Stephane de www.fontaine-a-eau.com

Commenter

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur, Nanterre B 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club Éducation et vie scolaire
Partager

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement