A travers cette mobilisation, l’organisation syndicale, qui a créé en mars 2012 un collectif national travaillant sur cette filière après d’importants conflits d’éboueurs (à Lyon et Bordeaux notamment), entend relayer les revendications des agents en matière de reconnaissance de la pénibilité de leur travail.
Celle-ci n’est en effet « plus forcément inscrite dans les arrêtés municipaux régissant ces activités, ce qui entraîne des disparités entre collectivités, certains agents étant inscrits en catégorie active et d’autres non », précise Michel Caussemille, référent du collectif au niveau national.
La fédération réclame donc l’intégration des chauffeurs de bennes à ordures et des engins des centres de traitement, ainsi que des agents de déchetterie et de centres de traitement dans la ...
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