« Nous considérons que rien n’est écrit, rien n’est décidé à ce stade » : tel a été le credo de Jean-Pierre Sueur (PS), président de la commission des Lois du Sénat, lors des tables rondes organisées les 23 et les 24 avril.
Les métropoles particulières de Paris, Lyon et Marseille, ainsi que les onze métropoles « classiques » inscrites dans le premier projet de loi de décentralisation, ont été au cœur de ces rendez-vous.
Jean-Jack Queyranne, président (PS) de la région Rhône-Alpes, a dénoncé une « lecture datée » qui, selon lui, tourne le dos à la fois à « la société en réseau » et à « l’égalité des territoires ».
« Le fait qu’il y ait un projet de loi sur les métropoles et un autre sur les régions va compliquer les choses », a déploré, pour sa part ...
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