Depuis que l’Etat est devenu, avec 75 % du capital, le principal actionnaire de SFIL, le véhicule foncier de la Banque postale, lequel a repris 90 % des contrats d’emprunts structurés qui avaient été émis par Dexia, le détenteur du capital inspire, comme il est de droit, dans ce type de situation, la stratégie de sa filiale dans la mesure où il en assumera les pertes futures.
S’agissant de Dexia résiduel, la banque est officiellement « en extinction » depuis le 1er février 2013, et elle n’est autorisée à prêter 600 M€, sous la haute surveillance de la Commission européenne que sur les seules années 2013 et 2014 et uniquement pour désensibiliser des produits toxiques, mais plus pour faire du développement commercial. Le Trésor n’en détient que 45 % contre 50 % pour ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article est en relation avec les dossiers
Thèmes abordés