L’annonce par Marylise Lebranchu de la suppression de la journée de carence dans la fonction publique a suscité une large levée de boucliers. En tant qu’ancien ministre de la Fonction publique et auteur de cette mesure, je partage cette indignation et cette colère.
L’impréparation de la décision, injuste et contre-productive, était telle que le Premier ministre l’aurait découverte dans la presse ! Il n’est pas acceptable que, sur un sujet qui a un impact aussi fort sur le quotidien des 5,2 millions de fonctionnaires, l’état des finances publiques et le fonctionnement des collectivités, hôpitaux et de l’Etat, une ministre décide seule, sans la moindre concertation avec les autres acteurs publics et sans même consulter le chef du gouvernement !
Carence contre gel ...
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